...Il y aussi des restos (très bons), des cafés, des karaoke, des magasins d'articles de sport (The North Face, les usines ne sont pas loin...)
Mais on n'en est pas là...
Départ du train de nuit pour Lao Cai : 21h35.
Le train de nuit porte bien son nom. C'est la nuit, c'est un train, il roule... et surtout il nous berce par ses mouvements de balancier.
Mais on n'en est pas là...
Départ du train de nuit pour Lao Cai : 21h35.
Le train de nuit porte bien son nom. C'est la nuit, c'est un train, il roule... et surtout il nous berce par ses mouvements de balancier.
5h20. Le contrôleur passe réveiller les passagers. 5h35, arrivée pile à l'heure à Lao Cai (ville-frontière avec la chine). Nous récupérons nos vélos. Le compteur kilométrique de Béatrice a disparu. Le capteur aussi, ce n'est donc pas un accident... bof, pas grave.
Il est 6h. Tous les restos de rue autour de la gare sont évidemment déjà ouverts. Nous préférons cependant avancer jusqu'à la sortie de la ville pour prendre le petit déjeuner (Phở, évidemment).
Puis nous attaquons gentiment la montée vers Sa Pa : 35 Km pour 1400M de dénivelé. Compte tenu des passages plats ou descendants, cela nous fait des rampes à 8-9% en moyenne, donc des maxi à 10-12%. Le temps est couvert, frais et humide. La machine ne chauffe pas et la montée passe tranquillement.
Sur la route, on croise des "minorités" (Dao ou H'Mong). Mais cela n'a rien à voir avec le cliché touristique de Sa Pa. On voit plus de pied nus et de visages à la peine que de sourires et de vêtements colorés...
Les 5 derniers kilomètres sont à 10%. Les gros semis-remorques mettent un temps infini à nous doubler. Si un autre poids lourd arrive de l'autre coté, celui qui nous double préférera nous jeter dans le fossé plutôt que de freiner ou de risquer la collision.
14h. Arrivée à Sa Pa. Un autre bol de Phở pour se rassasier et surtout se réchauffer.
Nous cherchons un hotel. Nous passons devant le "Honey Moon". La patronne se précipite dehors. Elle propose une grande chambre pour 300000 VND (11 euros). Elle est sympathique et dynamique. C'est d'accord.
Aujourd'hui, jour de semaine et période creuse, il y a bien plus d'hotels que de clients. La concurrence est rude... D'autant que la ville s'agrandit. On voit de grands hotels tout neufs ou en chantier. Le but est d'attirer les voyagistes, qui veulent pouvoir loger un car entier dans le même établissement : les petits vont souffrir...
Heureusement, tout ce monde-là mange, boit, s'amuse et dépense ses sous : il y a encore de la place pour les commerces, et ça se voit.
Au final, Sa Pa ressemble à une station de montagne, mais en plus vivant et avec le coté trépidant et inachevé des villes Vietnamiennes...
Il est 17h. Nous décidons d'aller dîner dès maintenant. Ce soir, ce sera du Bánh cuôn cha, une spécialité à la vapeur. Sur le mur derrière nous un grand tableau avec le menu et les prix officiels. En bas du tableau 3 numéros de téléphone destinés à recueillir les plaintes des clients. Quynh nous donne les explications : d'abord celui du comité populaire local, puis celui de la police, ... et enfin celui de l'hôpital du district!
Notre petit hotel est bien sympathique, du coup on y restera deux nuits.
Demain balade à pied.
Il est 6h. Tous les restos de rue autour de la gare sont évidemment déjà ouverts. Nous préférons cependant avancer jusqu'à la sortie de la ville pour prendre le petit déjeuner (Phở, évidemment).
Puis nous attaquons gentiment la montée vers Sa Pa : 35 Km pour 1400M de dénivelé. Compte tenu des passages plats ou descendants, cela nous fait des rampes à 8-9% en moyenne, donc des maxi à 10-12%. Le temps est couvert, frais et humide. La machine ne chauffe pas et la montée passe tranquillement.
Sur la route, on croise des "minorités" (Dao ou H'Mong). Mais cela n'a rien à voir avec le cliché touristique de Sa Pa. On voit plus de pied nus et de visages à la peine que de sourires et de vêtements colorés...
Les 5 derniers kilomètres sont à 10%. Les gros semis-remorques mettent un temps infini à nous doubler. Si un autre poids lourd arrive de l'autre coté, celui qui nous double préférera nous jeter dans le fossé plutôt que de freiner ou de risquer la collision.
14h. Arrivée à Sa Pa. Un autre bol de Phở pour se rassasier et surtout se réchauffer.
Nous cherchons un hotel. Nous passons devant le "Honey Moon". La patronne se précipite dehors. Elle propose une grande chambre pour 300000 VND (11 euros). Elle est sympathique et dynamique. C'est d'accord.
Aujourd'hui, jour de semaine et période creuse, il y a bien plus d'hotels que de clients. La concurrence est rude... D'autant que la ville s'agrandit. On voit de grands hotels tout neufs ou en chantier. Le but est d'attirer les voyagistes, qui veulent pouvoir loger un car entier dans le même établissement : les petits vont souffrir...
Heureusement, tout ce monde-là mange, boit, s'amuse et dépense ses sous : il y a encore de la place pour les commerces, et ça se voit.
Au final, Sa Pa ressemble à une station de montagne, mais en plus vivant et avec le coté trépidant et inachevé des villes Vietnamiennes...
Il est 17h. Nous décidons d'aller dîner dès maintenant. Ce soir, ce sera du Bánh cuôn cha, une spécialité à la vapeur. Sur le mur derrière nous un grand tableau avec le menu et les prix officiels. En bas du tableau 3 numéros de téléphone destinés à recueillir les plaintes des clients. Quynh nous donne les explications : d'abord celui du comité populaire local, puis celui de la police, ... et enfin celui de l'hôpital du district!
Notre petit hotel est bien sympathique, du coup on y restera deux nuits.
Demain balade à pied.
J'ai oublie de vous dire, ca arrive souvent quelqu´un vol des petits objets :( !!! Malgre tout, profitez vous SaPa et alentour.
RépondreSupprimer